Le capital, c’est ta vie – Hugues Jallon : l’impossibilité de la fuite

Le capital, c’est ta vie, roman de Hugues Jallon, se présente sur un mode de narration pluriel, parcourant en alternance la genèse du néo-libéralisme, la violence de l’injonction de surperformance y associée et, comme une chute d’Alice dans le terrier, la déflagration psychique et physique du narrateur, progressivement engendrée par un monde qui n’est plus … Lire la suite Le capital, c’est ta vie – Hugues Jallon : l’impossibilité de la fuite

Cher lecteur

La tendance de la rentrée littéraire est à l’épistolaire. J’ai cherché une rime en -ard pour le titre de ce billet, mais force est de constater qu’aucun qualificatif n’a trouvé ma faveur. Aussi le minimalisme, par définition non inclusif, a-t-il supplanté la tentation du buzz furtif. Me voilà donc, studieuse, installée à la salle d’étude … Lire la suite Cher lecteur

« Les ouvertures », un voyage narratif tourbillonnant

« Lorsque j’écrivais, je m’aventurais à mon grand étonnement dans le monde au-delà du miroir de la réalité – ou plutôt de sa caricature « réaliste » […] » 1, voici ce que l’on peut lire dans Le matricule des Anges qui consacre un dossier à Antonio Moresco. Il s’agit du roman de la rentrée … Lire la suite « Les ouvertures », un voyage narratif tourbillonnant

Billet d’humeur, Soliloque

Ma toute première lecture de cette rentrée littéraire fut déceptive. Une oeuvre dont je n'ai d'ailleurs parlé nulle part. Ce roman quasi adulé sur Insta, enchainant les clichés, aux personnages prédictibles et à la B.O. encore plus cliché que ses scènes niaises, je me suis dit "Mais qu'est-ce qu'il fout dans la Blanche de Gallimard … Lire la suite Billet d’humeur, Soliloque