Cher lecteur

La tendance de la rentrée littéraire est à l’épistolaire. J’ai cherché une rime en -ard pour le titre de ce billet, mais force est de constater qu’aucun qualificatif n’a trouvé ma faveur. Aussi le minimalisme, par définition non inclusif, a-t-il supplanté la tentation du buzz furtif. Me voilà donc, studieuse, installée à la salle d’étude … Lire la suite Cher lecteur

« Ma cruauté » de François Bégaudeau, ou l’art englouti.

Ma cruauté débute ainsi : « Pour éclairer le cadavre que je te livre ce soir, Juliette, je dois reparler du rire. ». Cet incipit irruptif est annonciateur du procédé choisi par l’auteur, et moi j’ai pensé au Jean-Baptiste Clamence de La Chute d’Albert Camus. Notons dans l’incipit de Ma cruauté, le clin d’œil à l’ouverture d’un autre … Lire la suite « Ma cruauté » de François Bégaudeau, ou l’art englouti.